AMITYVILLE . Rebirth
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 _Mack I. Evans; {Admin}

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Mackenzie I. Evans

Mackenzie I. Evans


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MessageSujet: _Mack I. Evans; {Admin}   _Mack I. Evans; {Admin} EmptyMar 25 Aoû - 0:50

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« Mackenzie I. Evans »



    LEIGHTON MEESTER
    _Mack I. Evans; {Admin} 51424949
    Nom : Evans
    Prénom(s) : Mackenzie qui vient de sa grand-mère maternelle et Imogen de son arrière grand-mère paternelle.
    Date de naissance & Age : 21 juin 1985 && 24 ans
    Lieu de naissance : Raleigh, Caroline du Nord
    Lieu de résidence : Amityville, Long Island

    Statut familial : La seule famille que la belle a ici, est son fiancé, Aaron, le shérif. Le couple ne va pas très bien, ils font une pause pourtant ils restant fiancés et les bagues leurs rappelles leur engagement.
    Statut professionnel :Elle a hérité de l’épicerie sur Park Avenue de son grand-père mais avant sa mère s’en occupait. Aujourd’hui et, sa mère est partie vivre ailleurs et Mackenzie s’occupe depuis 1 ans et demie de l’épicerie comme patronne.



I – We have a story, weird or simple


    Caractère :
    Altruiste ; Je n’utiliserais pas la définition complète d’altruiste car elle sera fausse dans mon cas. Pourquoi utiliser alors cet adjectif ? Tout simplement car je le suis mais a ma manière. Pour que je sois altruiste, il faut que la personne que j’aide fasse parti de mon cercle d’amis, ou que j’ai vraiment pitié d’elle. Je n’aide pas les inconnus ou très peu, mon métier m’a apprit a me méfier et une de mes devises est : « Un visage peut caché des choses, un corps peut caché des secrets et un inconnue peut cacher un monstre. » Ridicule mais vraie !
    Consciencieuse ; Il ne m’est jamais arrivée de bâcler quelque chose que j’ai envie de faire. Je remplis mes obligations, en me plaignant quelque fois mais je le fais. Je n’apprécie pas le faite qu’on bâcle quelque chose, et je ne me gêne pas pour le dire.
    Curieuse ; Comme toutes les femmes... Rien n’est pire que la curiosité, croyez moi. Ce trait de caractère peut m’empêcher de dormir, et dieu sait que je ne dors déjà pas beaucoup. Il met déjà arrivé de passer mes nuits assise sur le rebord intérieur de la fenêtre avec une paire de jumelle et a épié mes voisins.
    Drôle ; J’ai un humour qui n’appartient qu’a moi. Je me fais rire toute seule, ce qui fais rire les autres. Je placerais mon humeur plutôt du côté de l’ironie. J’aime faire rire mes proches, pour leurs redonnée le sourire, ou pour sortir d’une situation difficile.
    Impatiente ; Ne me faites jamais attendre, je peux être une vraie peste quand je m’y mets et me faire attendre est le meilleur moyen. Ma vie est remplit de A à Z, je n’ai pas envie de passer mon temps a attendre. La vie est courte, n’attendons plus !
    Instable ; J’aime pas dire que je suis instable mais bon mon psychologue m’a désigné ainsi. Je le suis car, mon humeur peut changer d’une seconde à l’autre ce qui déstabilise les autres. Mais ce n’est pas tout, je suis aussi instable socialement, d’une parole a une autre je peux détesté la personne et avoir envie de la tuer alors que le lendemain je peux plus me passer d’elle. C’est assez dure pour moi encore plus pour les autres.
    Observatrice ; Formation professionnel. On m’a apprise à l’être, sans quoi je ne serais pas la femme que je suis. Je me mets souvent à l’écart au début pour bien observer et ensuite je peux rentrée dans le monde qui s’ouvre a moi. Ainsi, je trouve les points faibles de mes camarades pour mieux les descendres quand il le cherche.
    Rancunière ; Enormément, je n’oublie jamais un mauvais coups. Le meilleur dans ce défaut, c’est la vengeance. Rien ne sert d’être rancunière si ce n’est pas pour se venger. La seule façon pour pas que je me venge c’est de me demander pardon et ce n’est pas dit que j’accepte les excuses.
    Sadique ; J’utiliserais ce mot ambigu surtout dans la forme, voir souffrir. J’aime voir souffrir les méchants dans l’histoire ou les bons, sa dépend qui me tape sur le système. J’adore mettre mon petit grain de sel afin de rendre la souffrance encore plus difficile. Appelé moi Cruella
    Sarcastique ; Rien n’est mieux qu’utiliser des sarcasmes pour faire comprendre son point de vue. J’utilise aussi mes phrases fracassantes pour me foutre de la gueule des gens. Voir les visages quand ils comprennent que c’est de l’ironie me fait plier en quatre.



II – Is there something else ?


    Où étiez-vous la nuit du massacre ? : « J’étais à l’épicerie jusqu’à 23 heures pour faire l’inventaire et ranger un peu. Les derniers clients sont partit à 21h30 environ et après j’étais seule dans l’épicerie. Je suis ensuite rentrée me coucher, j’étais vraiment fatigué. Quand je suis passer près de ocean avenue, j’ai vu du monde mais je n’ai pas porté attention. Je devais me lever tôt le lendemain et je n’avais encore rien manger et après avoir porter plusieurs cartons à bout de bras je puais la sueur. Pendant tout ce temps là j’étais seule. Avant de me coucher, ma mère m’a appelé, elle le fait chaque soir où presque depuis mon accident pour savoir si je vais bien. J’étais loin de cette maison dites ‘hantée’.»

    Pourquoi être venu à Amityville ? :



III – You, behind your computer


    Votre prénom/pseudo : Mistinguette ** Coeur Noisette
    Votre âge : 15 ans
    Comment avez-vous connu le forum ? ://
    Comment le trouvez vous ? : //
    Votre niveau de rp : 30-40 lignes voir plus
    Votre présence sur le forum : 6/7

    Code du réglement : Code Validé par Mackenzie
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Mackenzie I. Evans

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MessageSujet: Re: _Mack I. Evans; {Admin}   _Mack I. Evans; {Admin} EmptyMer 26 Aoû - 1:19

Histoire :
On dit qu’on revoit toute sa vie au moment où on va mourir ; ben c’est vrai, j’ai vu ma vie défiler devant mes yeux quand je suis tombé. C’était un tout petit film !
-Les Goonies.


    On fais tous un jour 1 mètre. Mais avant d’attendre cette taille, on doit passer des épreuves confectionnées par la nature. Apprendre à marcher, à parler à être propre. Pour certain, c’est facile de passer ses épreuves, quelqu’un la passent avant l’âge, on les prédestines à un futur prometteur et puis d’autre ont dû mal, prennent du retard. Je ne fais pas partie de cette dernière catégorie mais de la première, celle qui passe normalement ces épreuves. La chance m’a sourit avant de quitter l’utérus de ma mère. Ma famille est chanceuse financièrement. Mon grand-père paternelle à toujours veiller sur sa seule fille et la famille de celle-ci. Ainsi, j’ai eu une superbe vie qui était déjà toute tracée. A ma naissance, ma mère quitte son travaille et se consacre à ma sœur et moi. June à tout juste 4 ans de plus que moi, quand je suis arrivée, elle n’avait encore rien comprit à la vie, croyant que j’étais le fruit d’une cigogne ou d’un truc du genre. Mon enfance n’a rien eu de très intéressant. Mon grand-père me paya les bonnes écoles privées, pour que j’ai une bonne éducation. Il n’avait pas compris que je n’étais pas comme eux, leurs pères étaient PDG, concessionnaires, gérant de grandes boites... Le mien n’était qu’un simple employé de bureau lambda. Jusqu’à mes 8 ans, j’étais une fille comme les autres, normale, même si je portais du H&M et qu’elles arboraient déjà des grandes marques tels que Chanel ou D&G. Par chance ma mère était une de ces femmes, agile avec ses mains qui arrivait toujours à faire une tenue extraordinaire avec de simple vêtement coûtant moins de 15 dollars. Ainsi mes tenues ressemblaient à celles de mes camarades sauf que je n’avais pas le logo qui marquait l’origine. Ils étaient trop jeunes pour savoir que je n’étais pas comme elle. Moi, je le savais, chaque soir, avant de me coucher, ma mère me brossait les cheveux et me disait toujours la même chose, c’était devenue notre prière ;

    « Chérie, la différence est ce qui marque la personnalité et ce n’est jamais mauvais. »

    Elle préparait le terrain, elle savait ce que j’allais vivre, Jane était passé par là. Ma mère espérait juste que je réussirais à rebondir comme elle. Mais je n’étais pas comme Jane, loin de là, elle était grande, blonde, les yeux bleus, j’étais petite, brune et les yeux marrons. Nos vies, n’allaient jamais être les mêmes, il fallait juste faire avec.



-Qu’est ce que tu fais là mon pauvre chou ? A ton âge, on ne connaît pas encore les souffrances de la vie.
-Manifestement docteur, vous n’avez jamais été une fille de 13 ans
-Virgin Suicide


    Je remarque le changement de comportement de mes petits camarades à la rentrée de mes 9 ans. Apparemment, les vacances de certains avaient été remplit de découverte. Il arrive qu’à un âge, les rires enfantins laissent place, au pire des ressentis, le mépris. J’ai été la pauvre victime de ce sentiment toute mon adolescence et j’ai appris à en faire usage. Je sais que la vengeance est une façon de pardonner, mais que le méprit est juste la signature du traité de guerre. Les tenues arrangés par ma mère ne cachait plus la différence, en faite, elles n’avaient jamais rien cachés. C’était moi, mon sourire, tous ça, ma façon de faire comme eux, les avait dupés. La cruauté enfantine, la pire de toute, les enfants ne prennent pas conscience de la valeur des mots. Quand ils vous traite d’enfant de pauvres, sa vous touche, surtout enfant, quand la seule chose que vous souhaiter c’est d’être comme eux. Comme ceux que vous côtoyer chaque jours. Puis, il est un moment, où se battre pour devenir un mouton parmis temps d’autre alors que vous êtes le loups vous fatigue, vous jeté l’éponge et là les vraies galères arrivent. Moi et June étions, les protégés de mon grand-père. June n’avait pas vraiment était mise à l’écart, les générations changent, surtout les parents. Pour un riche, c’est mal vu de traîner avec un pauvre, pour un pauvre c’est mal vu de traîner avec un riche, mais quand on est obligé, il faut arrêter de se jeter la pierre. Mais les parents de mes pauvres camarades ne l’avaient pas encore comprit, pour eux, que leurs enfants traîne avec une fille d’un employé de bureau, rabaisser la famille. Puis, a force de ne fréquenter que ma famille je me suis complètement intériorisé. June était la fille intelligente, bien sous tout rapport, capitaine des cheerleaders... J’étais juste la fille ayant des notes moyennes, se cachant derrière une paire de lunette. Ma mère, préoccupé par mon changement, a décider de m’amener voir un psy. Mes maladies imaginaires pour ne pas aller en cours n’arrangeait rien. Le pire, c’est que je me suis retrouvé à aller voir un psy spécialiser dans les enfants. Dans la salle d’attente, je me retrouvais avec des suicidaires, d’autres qui pleuraient sans arrêt. J’étais la plus normale.


Jane est le stéréotype parfait de l’adolescente, paumée, mal dans sa peau, j’aimerais pouvoir lui dire que ça va s’arranger mais je ne veut pas lui mentir.
-American Beauty


    Il arrive le moment où la cloche de l’école primaire s’éloigne. Ma mère m’a placé dans un collège moins peuplé par les fils de riche. J’adorais les étés de mon adolescence. Pendant Juillet, j’allais souvent dans la maison de mon grand-père près des Appalaches. J’y ai appris à utiliser une arme même si je refusais de chasser c’était cruel de tué ces pauvres bêtes. Ensuite, je partais pour Vegas, le temps de quelque jours puis Miami. Miami, c’était la ville où je voulais fondée une famille, j’y ai appris enfin essayer d’apprendre à surfer, je ne tiens pas vraiment debout sur une planche, j’y ai appris à faire des rollers et pleins d’autres choses. C’est là-bas où j’ai vécus ma première grande histoire d’amour avec un homme plus âgées. Puis, on rentre à Raleigh comme chaque fin de vacance et là on se prépare à vivre une autre année pleine de rebondissement et d’imprévu. Pourtant, on ne s’attendait pas vraiment à cette imprévu J’étais la dernière à quitter la maison le matin. La maison était en travaux. Bien sur la seule pièce n’ayant pas de courant était celle privée de fenêtre et de lumière. On avait prit l’habitude de laisser une bougie devant la porte et une boite d’allumette, le matin se laver à la lueur d’une bougie suffisait largement. Un grand contrôle d’histoire me préoccupais depuis la veille, j’oublia complètement d’éteindre la bougie qui mis le feu à la maison. Quand, je suis rentrée, tout avait brûlé, il ne restait que quelques affaires personnels gisant sur le sol.
    Mes parents décidèrent, de faire notre vie ailleurs, ce fut dur pour ma sœur, mais pas pour moi. Celle qui accusait ses parents de vouloir gâcher sa vie personnel fut la première à prendre ses habitudes à Amityville. Quant a moi, je n’arrivais pas à m’affirmer dans la ville. June, était June, moi j’étais la fille de Rosemary ou la fille de la nouvelle patronne de l’épicerie de park avenue. Grâce au travaille de ma mère, je rencontra Tyson, le fils d’une des employés de l’épicerie. Il a juste 1 ans de plus que moi, on s’entendait bien et cette relation n’a fait que se renforcer avec le temps.



S’il ne me restait qu’une nuit à vivre je voudrais la passer auprès de toi...
-Pearl Harbor


    Mes journées étaient toutes les mêmes depuis mon arrivée. Les cours puis, j’allais aider ma mère à l’épicerie où entre deux clients je faisais mes devoirs. J’était toute seule, ma sœur était partie à l’université au Texas. Elle allait avoir un avenir brillant, avocate ou architecte, moi j’allais juste prendre les rennes d’un des nombreux magasins de mon grand-père. Ce que ne me gênait pas. Depuis mes 15 ans, je suivais une formation que ma mère me donnait, à partir de mes 21 ans, je pourrais devenir patronne, le rêve. Pour l’instant, j’avais que 18 ans. Ma sœur fut surprise d’apprendre que j’eus mon diplôme, elle me taquinait sur mes capacités mentales. J’étais juste pas faîtes pour les études à longs termes. Pendant la même année, une nouvelle rencontre changea ma vie. Il se nommait Aaron, pendant deux ans, nous fîmes connaissance, puis on est sortit ensembles. Pour à la fin se fiancé. On n’avait pas prévu de mariage, on était trop jeune.
    Ma mère ne voulait pas que je quitte Amityville, elle m’a donc ‘donner’ l’épicerie sur Park Avenue. C’était un avantage, je le connaissais déjà et les habitants me faisaient confiance. Les débuts ont été un peu dure mais ma mère m’aida. Depuis ca vas beaucoup mieux.



J’ai peur d’ouvrir les yeux, j’ai peur de les fermer...
-Projet blair witch


    Il y a 7 mois, j’apprend que je suis enceinte. Cette nouvelle est bien prise par ma famille et par Aaron aussi. Cet enfant, allait renforcer nos liens. Comme tout couple normal, il y a des hauts et des bas. Ce soir-là, c’était plutôt un bas. Une simple engueulade, changea ma vie. J’étais chambouler, les hormones n’arrangeaient rien. J’ai pris la voiture alors, qu’il pleuvait beaucoup. J’ai été victime d’un accident où je perdit l’enfant. Je n’avais vécut que 3 mois de grossesses. Je me sens coupable, j’ai pris la voiture alors que je savais qu’il ne le fallait pas. Je décide de faire une pause dans le couple, qui de ma faute va mal. Quand je ferme les yeux, je revois mon accident et le moment où on m’apprend que j’ai perdu l’enfant.
    Mes parents partent d’Amityville et me laisse la maison familiale. Rien de mieux pour reprendre du poil de la bête.
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